Les bords de la cascade étant fortement pentus, et la chute plus que dangereuse
(32 mètres), une clôture métallique empêche les curieux de s'approcher de trop
près. Du sommet de la cascade, on ne voit donc pas grand chose, tout au plus
peut-on deviner qu'il y a une marche.
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Le long du grillage, des panneaux d'informations décrivent la flore locale, ce
qui est d'un faible intérêt en hiver. Un cornet acoustique permet également
d'entendre le grondement de la cascade amplifié.
En suivant le grillage, on aboutit à une aire dégagée donnant vue sur la cascade. |
Un chemin étroit part au bout du grillage. Un panneau met en garde l'audacieux,
en avertissant que le chemin est escarpé et dangereux, contairement à celui de
la cascade du Pont de la Roche toute proche
(ce qui est un demi mensonge, car à la cascade du Pont de la Roche, un panneau
de mise en garde décrit aussi le sentier comme escarpé et dangereux, bien qu'il
soit beaucoup plus large et de bien meilleure facture).
Je l'emprunte prudemment, et force est de constater qu'il est étroit et escarpé. Ce faisant, je longe une paroi rocheuse de laquelle un bloc semble être prêt à tomber, pour peu qu'on daigne le pousser. |
Vue de la cascade en approchant du bout du sentier.
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La cascade, vue d'en bas.
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Gros plan sur le rideau d'eau.
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La rivière en aval de la cascade.
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Gros plan sur les stalactites au bord de la cascade.
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Il ne me reste plus qu'à faire demi-tour et remonter.
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