Impossible de se tromper.
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En amont de la cascade, la petite Rhue d'Eybes est déjà agitée. Notez le groupe
de stalactites le long de la rive opposée, au centre de l'image.
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L'accumulation des gouttes d'eau projetées par les rebonds de la rivière sur les
rochers créée des formes surprenantes, comme cette fine branche recouverte d'une
couche de glasse de plusieurs fois sa taille !
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Du haut de la cascade, on ne verra pas grand chose.
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Mais quelques mètres plus bas le long du sentier conduisant à son pied, la forme
de la cascade commence à se révéler. Celle-ci n'est pas une chute verticale,
mais semble décrire une parabole.
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Approchons-nous pour comprendre pourquoi.
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La raison est toute simple : l'érosion n'a en quelque sorte pas fini son
travail, et a taillé des petites marches, au lieu d'une seule énorme marche de
16 mètres.
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Meilleure vue de la cascade. On voit bien qu'un petit groupe d'arbres sur une
roche un peu plus haute que les autres a résisté au travail de sape de la
rivière et brise le flux en deux cascades de part et d'autre, la plus grande
partie du flux passant à gauche.
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Gros plan sur la partie droite. Ces marches invitent à monter, mais de
préférence en période de basses-eaux...
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Gros plan sur le sommet de la partie droite, avec des stalactites pour tous les
goûts.
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Gros plan sur le bas de la cascade.
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Au bord du chemin, d'autres traces de gel...
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La rivière s'écoule paisiblement en aval, avec tout de même quelques
cascatelles.
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Quelques dizaines de mètres plus loin le long de l'aval, voici la vue que je
laisse derrière moi. Le sentier ne continue guère plus loin, il me faut de toute
façon rebrousser chemin.
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