La cascade de Salins
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La cascade de Salins se trouve juste au sud de Salins, sur la route allant de Mauriac à Aurillac, dans le Cantal.

Il est possible d'aller jusqu'au pied de la cascade en aller-retour, mais le chemin continue et retourne vers Salins, ce qui permet de faire un circuit d'un peu moins de trois kilomètres que l'on peut effectuer tranquillement en une moins d'une heure.

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Comme son nom ne l'indique pas, la cascade de Salins est réalisée, sans trucage ni doublage, sous vos yeux ébahis, toute l'année, par...
Le cours de l'Auze étant, en cet endroit, orienté est-ouest, il ne faut pas y passer trop tôt dans la journée, sous peine d'être à contre-jour.
Sur la photo ci-dessous, l'exemple à ne pas suivre, en milieu de matinée au début de l'été. La photo présente l'Auze en amont de la cascade.
Le même point de vue, à peu prés, en milieu d'après-midi début décembre. On y voit plus clair !
L'amont, juste au niveau de la cascade...
Pas tout à fait en fait. Il y a ce léger rétrécissement sur quelques mètres avant de tomber dans le vide.
Du sommet de la cascade, on distingue sans peine le sentier qui mène au pied de la cascade...
...ainsi que la rivière en contrebas.
Voici la cascade dans son intégralité, hélas à contrejour ici.
En fin d'année, il y a tout de même un peu plus d'eau...
Autre mise en situation, avec le pont routier et le pont de chemin de fer en arrière-plan.
En s'approchant, il est possible de commencer à deviner le chemin passant derrière le rideau d'eau, sous la paroi, en se baissant un petit peu.
Le chemin (trace visible sur la gauche) est étroit et devient boueux par endroits au fur et à mesure que l'on approche de l'eau.
Le rideau d'eau, de profil. Sur la gauche, notez la trace du sentier (foncé) passant le long de la pierre, plus claire.
Au même endroit l'été, il y a plus d'herbe mais moins d'eau...
Mais quelle que soit la saison, le vacarme ne faiblit pas.
Sur le point de passer derrière le rideau. Notez la présence de plusieurs chutes avec des inclinaisons différentes.
En été, il s'agit d'un rideau assez mince.
En hiver, par contre...
L'autre profil du rideau d'eau, l'été...
...et l'hiver.
Le chemin s'écarte de la cascade.
Soudain, une inscription mystérieuse sur la roche...
Un peu plus loin, une passerelle enjambe le Monzola, un affluent de l'Auze, juste au niveau de la confluence. Le Monzola dévale lui aussi une cascade en cet endroit, mais celle-ci est encombrée de roches qui la brise en de nombreuses petites marches.
Et bien entendu, dans cette zone humide, on ne sera pas surpris de croiser des libellules.