En provenance de Châtain, l'accès au site se trouve sur la gauche peu après
avoir pris la route de Faux. Dès que vous croisez le ruisseau, ralentissez et
garez-vous sur la langue de terre à gauche, derrière le panneau que vous ne
voyez que de dos.
Si vous venez de Faux, c'est plus facile, le panneau vous fait face et est
immanquable, garez-vous juste après.
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Dans un premier temps, le chemin monte entre les arbres.
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Puis sur les arbres, en utilisant les racines exposées comme marches.
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Très vite, des rochers attirent le regard sur la droite.
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Puis presque en face.
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Mais il ne s'agit là que de rochers « apéritifs », car le chemin
continue et les dépasse ; j'y retournerai plus tard.
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Je dédaigne donc pour le moment tous ces rochers.
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Après les avoir dépassé et m'être élevé à leur hauteur, ils sont de toute façon
moins impressionnants.
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Je ne me laisserai pas attendrir par ce rocher...
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...car je devine, plus loin, d'autres rochers au bout du chemin.
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Lequel chemin finit d'ailleurs tout simplement par passer par les
rochers.
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Avec une vue assez dégagée vers le sud.
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Bien que sur un rocher, je ne suis pas encore au point culminant. J'en veux pour
preuve ce rocher posé sur le rocher sur lequel je suis, ainsi que le
mastodonte à l'arrière-plan.
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Lequel mastodonte surplombe les environs de 3 à 4 mètres.
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Encore un rocher esseulé, un blot.
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Le chemin passe à droite de ce rocher. En évitant de provoquer sa fureur.
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Je continue de longer le plat de résistance.
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Je vais bientôt arriver à son niveau.
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Au passage, j'ignore deux rochers posés.
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Ça y est, je vais pouvoir poser le pied sur le rocher le plus haut !
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M'y voici.
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Je continue vers l'ouest. Notez l'emprise de la végétation.
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Je suis arrivé au bout du rocher à l'ouest. Celui-ci laisse place à la
végétation normale.
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Je fais donc demi-tour, ce qui me permet d'apprécier l'imposant volume du rocher
qui coiffe le relief.
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Me voici proche du sommet.
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Avec une vue bien dégagée vers le sud.
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Le côté droit du sommet, vers le sud, s'avère tranché... Je vais passer de
l'autre côté, plus lisse.
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Et me voici au sommet, qui n'a ni borne, ni balise, ni table d'orientation, mais
un arbre !
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Et le rocher continue...
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...enfin, pas sur une longueur gigantesque non plus.
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Je suis tout de même impressionné par l'envahissement du rocher par de la
végétation viable en de nombreux endroits.
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Je quitte le sommet et retourne vers le sentier, en longeant cette fois-ci la
paroi nord.
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Me voici rapidement de retour aux rochers « apéritifs ».
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À gauche, un presque-escalier m'invite à monter.
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De toute façon, le reste du rocher semble sans intérêt.
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Me voilà sur ce rocher. Vers l'ouest, un gros fragment évoquant un gisant bien
ventru.
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Vers le sud, d'autres rochers...
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...mais pas tout à fait contigüs, il y a une belle faille entre les deux.
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Et toujours une vue bien dégagée vers le sud !
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Derrière moi, vers l'est, se trouve aussi une faille.
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J'y descends, et je vois d'autres rochers en prolongement.
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Mais ce qui m'intéresse, c'est la faille...
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Depuis la faille, j'ai des rochers tout autour de moi...
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Je sors de la faille, en voici d'autres.
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Ici, un éboulement (ou autre chose) a placé ce rocher en équilibre sur ses
voisins.
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Je descends le long d'un rocher qui évoque un oiseau de proie.
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Se serait-il détaché d'une paroi plus importante ?
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En tout cas, les courbures des rochers ont été limées par le temps et les
éléments.
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De face, le bec de l'oiseau de proie devient un simple nez proéminent.
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Du coup je redescends. Il y a d'autres rochers pour m'occuper...
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Ici, il est clair que ce rocher est venu ici pour une mise au vert.
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Encore quelques rochers en vrac pour finir.
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