Le départ a lieu à la gare de Landeyrat, au parking du vélo-rail, désert.
Nous sommes ici au mois de décembre, afin de mieux profiter
de la roche de Landeyrat qui sera mieux visible au travers de la végétation,
les arbres ayant perdu leurs feuilles.
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La ligne de chemin de fer n'est plus empruntée que par les vélo-rail pendant la
saison touristique. Difficile d'imaginer, comme l'indique ce panneau sur le
quai, que cette gare fut la plus grande gare de transhumance de France !
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Voici le point de départ du circuit. Normalement, il faut suivre la D204 en
direction du bourg de Landeyrat, mais je vais plutôt suivre les rails vers
l'est.
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Après quelques dizaines de mètres le long des rails, voici la première vue
dégagée sur la roche de Landeyrat.
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Gros plan sur la roche.
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Le chemin longe la voie ferrée sur un peu moins d'un kilomètre.
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Par endroits, la végétation a recouvert les traverses.
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Le chemin quitte la voie ferrée et continue entre ces deux clôtures, en
direction du tumulus.
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Le terrain est légèrement marécageux, mais les zones humides sont peu profondes
et gelées en surface. Et dès le franchissement de cet échallier, je vais pouvoir
prendre de la hauteur...
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En me retournant, j'ai vue sur le buron des Mas, bien seul au centre, ainsi que
sur la Montagne des Mas, à droite. La gare est masquée par le bosquet de
conifères. Beaucoup plus loin, à gauche au loin, le buron de Chastelou.
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En bordure du hameau des Prades, ce groupe de pierres pourrait être un très
ancien cimetière.
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À l'horizon, les sommets enneigés du Cantal. Je les verrai d'un peu plus haut
vers la fin de la boucle.
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Me voici tout près de la roche.
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On y descend par un petit chemin ombragé.
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Rapidement, les arbres cèdent leur place aux fragments de roche, de part et
d'autre du chemin.
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Un peu plus loin, le marquage sur cette pierre semble indiquer un point de vue
remarquable...
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...mais celui-ci laisse un peu à désirer.
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Néammoins, à travers les arbres, des orgues commencent à apparaître.
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Le sentier, jusqu'ici à peu près plat, va devenir fortement pierreux, avec un
tapis de mousse pour atténuer les aspérités.
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Du panneau visible sur la photo précédente, voici le vue en
« aval »...
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...et la vue en « amont ».
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Un peu plus loin, une trouée parmi les arbres permet de voir les orgues du
sommet de la roche.
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Quelques mètres plus loin, un meilleur point de vue s'offre à moi.
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Il s'y trouve d'ailleurs un bloc d'explications en trois panneaux.
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Je ne me fais pas prier pour suivre l'invitation à pénétrer dans le chaos. Si
celui-ci est plutôt apaisé sur ma droite...
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... il s'élève progressivement sur ma gauche.
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Nouvelle vue sur les orgues.
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Je progresse dans l'éboulis.
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Je suis arrivé sur une zone à peu près plate, et ces orgues m'invitent à les
rejoindre.
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Me voici au pied de ces orgues.
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Et maintenant au sommet. La vue me révèle de nouvelles strates du chaos rocheux.
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De retour sur le chemin, celui-ci ne tarde pas à s'éloigner de la roche, en
direction du bourg de Landeyrat. Il offre au passage quelques points de vue plus
dégagés sur les orgues du sommet de la roche, de l'autre côté de la route.
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Au lieu de rejoindre directement la gare, le chemin s'éloigne du bourg vers
l'ouest, afin de contourner un surplomb rocheux.
C'est l'occasion d'admirer, vers le nord, le bois des Chamasses, avec le Florac
émergeant à sa gauche, et une partie de la Montagne de Rocherousse derrière le
bois.
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Au sud, les sommets du Cantal sont de nouveau visibles.
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On reconnaîtra sans peine, sur la gauche, le Puy du Rocher dont dépasse le Plomb
du Cantal, et sur la droite, la forme caractéristique du Puy de Seycheuse.
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Au centre désormais, le Puy de Seycheuse, avec le Rocher du Bec de l'Aigle à sa
droite ; plus à droite, le Téton de Vénus, et le Puy Bataillouse.
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Vue recentrée sur le Puy Bataillouse, on distingue la forme imposante du Puy de
Peyre Arse à sa droite, et la forme plus aplatie du Puy de Niermont.
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Vue recentrée sur le Puy de Niermont, c'est bien évidemment le Puy Mary qui se
trouve à sa droite, et le Puy de la Tourte tout à droite.
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Vue recentrée sur le Puy Mary et le Puy de la Tourte,
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À la droite du Puy de la Tourte, le Suc Gros...
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...et à la droite du Suc Gros, le Rocher de l'Aygue au centre...
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...et le Suc de Rond pour finir.
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Vue d'ensemble, ou presque, centrée sur les Puys de Peyre Arse et Mary.
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Vers le nord, la vue porte jusqu'aux monts Dore.
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Gros plan sur les monts Dore, à droite du Florac : les nuages en caressent
les flancs gauche et droite, mais au centre on distingue nettement le pic du Puy
de Sancy, et le Puy Ferrand plus aplati à droite, ainsi que le Puy de Paillaret,
moins enneigé, devant le Puy Ferrand.
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Profitant d'un peu plus d'ensoileillement, voici de nouveau les reliefs du
Cantal, ici autour du Puy de Seycheuse, du Plomb du Cantal (à gauche) aux flancs
du Puy de Peyre Arse à droite...
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...et du Puy de Peyre Arse à gauche au Puy de la Tourte au centre.
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Le Rocher du Bec de l'Aigle, juste à droite du Puy de Seycheuse, est un peu plus
net ici.
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Tout comme le Puy de Niermont, entre le Puy de Peyre Arse et le Puy Mary.
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Même le Plomb du Cantal est un peu plus découpé.
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Et bien entendu, vers le nord-est, il y a toujours la roche de Landeyrat.
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Il ne me reste plus qu'à redescendre jusqu'à la gare.
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M'y voilà !
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Il y a même des toilettes publiques, pendant l'été.
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